Homéopathie
La suite de l’article paru dans Enneagram Monthly sur l’application de l’ennéagramme à l’homéopathie
« Publication sur Enneagram Monthly : Homéopathie et Ennéagramme (partie 1) »
Une lecture précise des mots clés donnés par Laleh Bakthiar attira mon attention. Elle donnait comme émotion dominante du point 7 la gloutonnerie, ce qui était, bien sûr, identique à la définition d’Oscar Ichazo.
Il ne pouvait donc s’agir de deux modèles différents, mais de deux niveaux de lectures différents. Quand je compris qu’il était impossible à un non initié d’avoir accès aux données soufies, je sus que je ne pouvais plus compter que sur mes propres ressources.
Ma stratégie fut double :
- Pour chaque patient, je continuais à poser comme à mon habitude mon diagnostic de simillimum homéopathique d’une part (sans utiliser l’hypothèse de départ), et d’autre part je formulais une hypothèse de diagnostic ennéagrammique (type + sous-type).
- Il me fallait éclairer l’ennéagramme à partir d’autres systèmes connus pour augmenter les données et les critères diagnostics.
Voici notre premier article sur l’application de l’ennéagramme à l’homéopathie, publié aux Etats-Unis sur Enneagram Monthly, la revue de référence internationale en matière d’ennéagramme.
Homéopathie et Ennéagramme
Bernadette Schmitt & Frédéric Schmitt, M.D.
L’ennéagramme nous a été transmis au cours de retraites intensives de méditation dans les années 1990 par le Vénérable Dhiravamsa, un maitre bouddhiste de renommée internationale et ami intime de Claudio Naranjo.
Assez rapidement nous eûmes l’intuition, Bernadette et moi-même, d’un lien possible entre les trois règnes de la matière médicale homéopathique (minéral, végétal et animal) et les trois sous-types de l’ennéagramme (préservation, social, sexuel)…