La suite de l’article paru dans Enneagram Monthly sur l’application de l’ennéagramme à l’homéopathie
« Publication sur Enneagram Monthly : Homéopathie et Ennéagramme (partie 1) »
Une lecture précise des mots clés donnés par Laleh Bakthiar attira mon attention. Elle donnait comme émotion dominante du point 7 la gloutonnerie, ce qui était, bien sûr, identique à la définition d’Oscar Ichazo.
Il ne pouvait donc s’agir de deux modèles différents, mais de deux niveaux de lectures différents. Quand je compris qu’il était impossible à un non initié d’avoir accès aux données soufies, je sus que je ne pouvais plus compter que sur mes propres ressources.
Ma stratégie fut double :
- Pour chaque patient, je continuais à poser comme à mon habitude mon diagnostic de simillimum homéopathique d’une part (sans utiliser l’hypothèse de départ), et d’autre part je formulais une hypothèse de diagnostic ennéagrammique (type + sous-type).
- Il me fallait éclairer l’ennéagramme à partir d’autres systèmes connus pour augmenter les données et les critères diagnostics.
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